Après The legend of Zelda Master Quest sur Game Cube qui proposait une difficulté accrue à son opus original sorti sur Nintendo 64 en 1998, c’est au tour de la 3DS de s’y coller avec cette fois-ci moult améliorations graphiques en plus de l’effet 3D pour ce remake… L’occasion idéale pour moi de vous raconter comment du haut de mes 8 ans, j’ai découvert grâce à mon père The legend of Zelda : Ocarina of Time sur N64.
Petit, je n’avais d’yeux que pour Zelda Links Awakening sur ma vielle Game Boy sans couleur (oui cette époque a existé). Ayant eu vent de bons échos de la part de ses collègues de travail qui n’arrêtaient pas de lui dire que leurs enfants se régalaient à Zelda sur la Nintendo 64, mon vieux se décidait à acheter à son tour la mythique cartouche.
Ma Game Boy a fini dans un des tiroirs de ma chambre au profit d’une grosse manette que je galérais à manier avec mes petits doigts, et ce sans aucun regret. Les enfants sont cruels parfois.
Je me souviens avec amusement que je faisais mon possible pour traverser la plaine d’Hyrule en plein jour parce que j’avais peur des squelettes qui venaient m’ attaquer à la nuit tombée… Bon sang, qu'est-ce que j'étais mignon !
La 64 a vaincu ma GameBoy
Petit, je n’avais d’yeux que pour Zelda Links Awakening sur ma vielle Game Boy sans couleur (oui cette époque a existé). Ayant eu vent de bons échos de la part de ses collègues de travail qui n’arrêtaient pas de lui dire que leurs enfants se régalaient à Zelda sur la Nintendo 64, mon vieux se décidait à acheter à son tour la mythique cartouche.
Ma Game Boy a fini dans un des tiroirs de ma chambre au profit d’une grosse manette que je galérais à manier avec mes petits doigts, et ce sans aucun regret. Les enfants sont cruels parfois.
Je me souviens avec amusement que je faisais mon possible pour traverser la plaine d’Hyrule en plein jour parce que j’avais peur des squelettes qui venaient m’ attaquer à la nuit tombée… Bon sang, qu'est-ce que j'étais mignon !
Ocarina of time, une expérience magique
J’ai été marqué par l’introduction du jeu : on entend des galops, la lune se couche pour laisser place à l’aube rougissante et Link est là, chevauchant Epona sur les vastes et vertes plaines d’Hyrule accompagné d’un thème musical qui souligne la quête épique et onirique que l’on s’apprête à entamer.
Le level design est de toute beauté et fouillé (surtout que c’est le 1er jeu en 3D de la saga), la couleur joue un rôle important dans l’œuvre, finissant d’achever mon admiration déjà sans borne. 10 minutes m’ont suffi pour me rendre compte que j’avais là l’un des meilleurs jeux vidéo de tous les temps, si ce n’est « le meilleur » d’après les dires de Famitsu (vu et approuvé par Wikipédia).
C’est l’histoire d’un mec…
…tout de vert vêtu, il a les oreilles pointues et fait un cauchemar dans lequel il voit un autre gars aux oreilles pointues et aux cheveux rouges. Il n’a pas l’air cool le mec, il pourchasse une jolie demoiselle à cheval et…
Notre héros se voit réveillé par Navy, une fée, qui lui annonce que l’arbre Mojo a besoin de son aide : il faut que Link brise la malédiction qui le ronge. Ceci fait, notre Kokiri apprend que sa quête consiste à arrêter l’homme maléfique qu’il a vu en rêve et qui est aussi le responsable de la malédiction du viel arbre. Il obtient l’émeraude Kokiri et part au château d’Hyrule rencontrer la princesse Zelda selon la volonté de feu l’arbre Mojo.
Au cours de son aventure, Link rencontrera de nombreux personnages ce qui sera pour vous l’occasion de faire des quêtes annexes. Vous ferez la rencontre des Gorons, des Zoras, des Gerudos et des autres peuples d’Hyrule.
Un gameplay très riche
Non content des précédentes prouesses visuelles et techniques évoquées, ZOFT (Zelda Ocarina of time) dispose d' un gameplay riche qui permet à Link de faire un large panel d’interactions : on peut marcher, courir, faire des roulades, sauter, grimper, nager, voler avec une poule, galoper avec Epona, viser de manière précise, creuser…
La liste est encore très, très longue. L’arsenal de notre guerrier est impressionnant (boomerang, flèches, bombes, etc.) et diffère en fonction de sa version adulte/enfant. En plus de cela, il peut forger une épée gigantesque et se vêtir de costumes aux propriétés bien utiles. N’oublions pas d’évoquer les phases d’infiltrations ou il peut raser les murs et marcher sur la pointe des pieds… un régal.
Les donjons sont légions et ne se ressemblent pas, le bestiaire change énormément et les énigmes deviennent de plus en plus ardues au fur et à mesure que l’histoire progresse. J’ai personnellement eu du mal avec le temple de la forêt.
Si la finesse d’esprit des joueurs est mise à rude épreuve, les combats ne sont cependant pas laissés pour compte : comme dit plus haut, Link a pour lui un équipement diversifié qui lui permet de vaincre ses ennemis en fonction de leur point faible. Par exemple, pour les boss de donjons, il faudra se montrer patient et plein de jugeote afin de déceler leurs points faibles : les affrontements sont de longue haleine et durent plusieurs minutes. Ô joie lorsque vous l’emportez et gagnez un cœur supplémentaire !
Notre kokiri est aussi un épéiste hors pair : vous pouvez notamment donner des coups à la verticale, à l’horizontale, à la diagonale, la classique attaque circulaire, l’attaque sautée, l’attaque en pointe... Etant un combattant complet, le héros sait aussi se défendre avec son bouclier, esquiver sur les côtés ou en arrière, etc.
Les villes sont très bien animées. On peut voir certains personnages effectuer des travaux ou en train de parler, d’autres qui se courent après, des badauds discutant…
Cela n’a l’air de rien dit comme ça, mais pour un jeu de Nintendo 64, pouvoir voir une IA aussi développée forçait le respect à l’époque. Le temps s’écoule dans Hyrule, chose surprenante encore une fois puisque la plupart des jeux de 64 sont intemporels.
L’ocarina a un rôle primordial dans le jeu : les mélodies qu’entonne Link peuvent par exemple faire passer la nuit très rapidement (le chant du soleil) ou appeler votre fidèle destrier (Le chant d’Epona).
Plus tard vous ferez aussi l’acquisition de pouvoirs conférés par les fées… Et je vais m’arrêter là parce que sinon ce ne sera plus un article mais un roman que je vais rédiger. Vous l’aurez compris, Zelda 64 est un jeu qui ne déconne pas avec la qualité.
J’ai été marqué par l’introduction du jeu : on entend des galops, la lune se couche pour laisser place à l’aube rougissante et Link est là, chevauchant Epona sur les vastes et vertes plaines d’Hyrule accompagné d’un thème musical qui souligne la quête épique et onirique que l’on s’apprête à entamer.
Le level design est de toute beauté et fouillé (surtout que c’est le 1er jeu en 3D de la saga), la couleur joue un rôle important dans l’œuvre, finissant d’achever mon admiration déjà sans borne. 10 minutes m’ont suffi pour me rendre compte que j’avais là l’un des meilleurs jeux vidéo de tous les temps, si ce n’est « le meilleur » d’après les dires de Famitsu (vu et approuvé par Wikipédia).
C’est l’histoire d’un mec…
…tout de vert vêtu, il a les oreilles pointues et fait un cauchemar dans lequel il voit un autre gars aux oreilles pointues et aux cheveux rouges. Il n’a pas l’air cool le mec, il pourchasse une jolie demoiselle à cheval et…
Notre héros se voit réveillé par Navy, une fée, qui lui annonce que l’arbre Mojo a besoin de son aide : il faut que Link brise la malédiction qui le ronge. Ceci fait, notre Kokiri apprend que sa quête consiste à arrêter l’homme maléfique qu’il a vu en rêve et qui est aussi le responsable de la malédiction du viel arbre. Il obtient l’émeraude Kokiri et part au château d’Hyrule rencontrer la princesse Zelda selon la volonté de feu l’arbre Mojo.
Au cours de son aventure, Link rencontrera de nombreux personnages ce qui sera pour vous l’occasion de faire des quêtes annexes. Vous ferez la rencontre des Gorons, des Zoras, des Gerudos et des autres peuples d’Hyrule.
Un gameplay très riche
Non content des précédentes prouesses visuelles et techniques évoquées, ZOFT (Zelda Ocarina of time) dispose d' un gameplay riche qui permet à Link de faire un large panel d’interactions : on peut marcher, courir, faire des roulades, sauter, grimper, nager, voler avec une poule, galoper avec Epona, viser de manière précise, creuser…
La liste est encore très, très longue. L’arsenal de notre guerrier est impressionnant (boomerang, flèches, bombes, etc.) et diffère en fonction de sa version adulte/enfant. En plus de cela, il peut forger une épée gigantesque et se vêtir de costumes aux propriétés bien utiles. N’oublions pas d’évoquer les phases d’infiltrations ou il peut raser les murs et marcher sur la pointe des pieds… un régal.
Les donjons sont légions et ne se ressemblent pas, le bestiaire change énormément et les énigmes deviennent de plus en plus ardues au fur et à mesure que l’histoire progresse. J’ai personnellement eu du mal avec le temple de la forêt.
Si la finesse d’esprit des joueurs est mise à rude épreuve, les combats ne sont cependant pas laissés pour compte : comme dit plus haut, Link a pour lui un équipement diversifié qui lui permet de vaincre ses ennemis en fonction de leur point faible. Par exemple, pour les boss de donjons, il faudra se montrer patient et plein de jugeote afin de déceler leurs points faibles : les affrontements sont de longue haleine et durent plusieurs minutes. Ô joie lorsque vous l’emportez et gagnez un cœur supplémentaire !
Notre kokiri est aussi un épéiste hors pair : vous pouvez notamment donner des coups à la verticale, à l’horizontale, à la diagonale, la classique attaque circulaire, l’attaque sautée, l’attaque en pointe... Etant un combattant complet, le héros sait aussi se défendre avec son bouclier, esquiver sur les côtés ou en arrière, etc.
Les villes sont très bien animées. On peut voir certains personnages effectuer des travaux ou en train de parler, d’autres qui se courent après, des badauds discutant…
Cela n’a l’air de rien dit comme ça, mais pour un jeu de Nintendo 64, pouvoir voir une IA aussi développée forçait le respect à l’époque. Le temps s’écoule dans Hyrule, chose surprenante encore une fois puisque la plupart des jeux de 64 sont intemporels.
L’ocarina a un rôle primordial dans le jeu : les mélodies qu’entonne Link peuvent par exemple faire passer la nuit très rapidement (le chant du soleil) ou appeler votre fidèle destrier (Le chant d’Epona).
Plus tard vous ferez aussi l’acquisition de pouvoirs conférés par les fées… Et je vais m’arrêter là parce que sinon ce ne sera plus un article mais un roman que je vais rédiger. Vous l’aurez compris, Zelda 64 est un jeu qui ne déconne pas avec la qualité.
Il serait (honteux ?) regrettable de ne pas avoir joué à Zelda Ocarina of Time. Plus qu’une simple aventure vidéo ludique, les créateurs du petit bonhomme vert ont su développer un univers riche et enchanteur doté d’une ambiance unique portée par des musiques respirant la poésie (putain c’est bô c’que j’dis). Il serait dommage de passer une nouvelle fois à côté avec la sortie prochaine de son opus retravaillé pour la 3DS. Un must have.
Retrouvez cette critique et plein d'autres sur otakritik, le blog de Yomigues.
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29.07.2013 à 17h07