Midori Days n’est pas la seule série où le héros est confronté à un problème lié à son physique. Ici, c’est la main de Seiji, mais on peut citer Ranma ½ (où le héros se transforme en fille au contact de l’eau), Meitentei Conan (dans lequel shinichi Kudo est rapetissé et cache sa véritable identité). L’autre point commun vient du fait que chacun de ces personnages souhaitent retrouver son corps d’origine. La série se distingue dans le thème du 2 en 1 car cette fois-ci on a droit à deux entités dans un même corps, qui peuvent interagir entre elles. On peut aussi y voir un véritable message de la part du mangaka : peut-on aimer malgré les différences/contraintes qui nous séparent ?
MD, c’est un récit initiatique à l’humour omniprésent. Il est impossible de ne pas pouffer de rire face aux situations plus burlesques les unes que les autres que rencontrent les protagonistes. Seiji pour voir une vidéo porno dans un chapitre, devra monter tout un stratagème afin de parvenir à ses fins sans éveiller les soupçons de Midori... Takako qui s’invente des délires shôjo poussés à l’extrême avec un Seiji plus viril que jamais... Takamizawa et sa passion dérangeante pour les poupées... Et le cœur du pauvre Kôta qui oscille entre Seiji et Midori.
Chaque personnage est là pour vous faire pleurer de rire.
Mais le titre est aussi parcourue de moments de tendresse, on se surprend à avoir un frisson au détour d’une planche où notre furyo brise un peu la barrière du voyou et nous laisse découvrir un personnage attachant et chaleureux.
En ce qui concerne le dessin, on constate avec amusement qu’il joue beaucoup avec le côté « kawaï » de Midori.
Tous les codes sont utilisées : personnage petit et mignon, grand yeux, toujours souriante, et quand une larme apparait... On ne peut s’empêcher de crier dans notre pauvre piaule d’otaku : « KAWAAAAAAAAAI !!! ».
Les mimiques des personnages font tout de suite mouche, INOUE a choisi le domaine où il semble avoir des prédispositions : la comédie.
Le découpage et la trame sont tout de même assez classiques.
Je n’ai pas trouvé de manga dont le trait ressemble à celui de MD, point fort pour l’auteur puisque c’est en plus sa première œuvre publiée, il a tout de suite trouvé son style ! ! Certains reprochent la trop grande ressemblance entre Seiji et Onizuka de GTO (ils sont tous les deux blond, bagarreur, avec une grande force, etc.). Cependant ces deux héros se distinguent en de nombreux points (l’histoire n’est tout simplement pas la même). Son dessin colle parfaitement avec le genre de la comédie romantique.
Voila donc une comédie romantique pas comme les autres avec un grand C ! En à peine 8 volumes, le mangaka n’a pas le temps de laisser ses gags s’essouffler !!
L’introduction de nouveaux personnages encore plus délirants va accroître la quantité de gags déjà ahurissant par volume.
Midori Days n’a pas l’étoffe d’une grande œuvre et n’est pas un pionnier du genre, mais le titre s’avère être une lecture agréable, on ressort avec le sourire. Mais qu’est ce que vous faites encore devant mon artcile ? COUREZ L’ACHETER !!!
MD, c’est un récit initiatique à l’humour omniprésent. Il est impossible de ne pas pouffer de rire face aux situations plus burlesques les unes que les autres que rencontrent les protagonistes. Seiji pour voir une vidéo porno dans un chapitre, devra monter tout un stratagème afin de parvenir à ses fins sans éveiller les soupçons de Midori... Takako qui s’invente des délires shôjo poussés à l’extrême avec un Seiji plus viril que jamais... Takamizawa et sa passion dérangeante pour les poupées... Et le cœur du pauvre Kôta qui oscille entre Seiji et Midori.
Chaque personnage est là pour vous faire pleurer de rire.
En ce qui concerne le dessin, on constate avec amusement qu’il joue beaucoup avec le côté « kawaï » de Midori.
Tous les codes sont utilisées : personnage petit et mignon, grand yeux, toujours souriante, et quand une larme apparait... On ne peut s’empêcher de crier dans notre pauvre piaule d’otaku : « KAWAAAAAAAAAI !!! ».
Les mimiques des personnages font tout de suite mouche, INOUE a choisi le domaine où il semble avoir des prédispositions : la comédie.
Le découpage et la trame sont tout de même assez classiques.
Je n’ai pas trouvé de manga dont le trait ressemble à celui de MD, point fort pour l’auteur puisque c’est en plus sa première œuvre publiée, il a tout de suite trouvé son style ! ! Certains reprochent la trop grande ressemblance entre Seiji et Onizuka de GTO (ils sont tous les deux blond, bagarreur, avec une grande force, etc.). Cependant ces deux héros se distinguent en de nombreux points (l’histoire n’est tout simplement pas la même). Son dessin colle parfaitement avec le genre de la comédie romantique.
Voila donc une comédie romantique pas comme les autres avec un grand C ! En à peine 8 volumes, le mangaka n’a pas le temps de laisser ses gags s’essouffler !!
L’introduction de nouveaux personnages encore plus délirants va accroître la quantité de gags déjà ahurissant par volume.
Midori Days n’a pas l’étoffe d’une grande œuvre et n’est pas un pionnier du genre, mais le titre s’avère être une lecture agréable, on ressort avec le sourire. Mais qu’est ce que vous faites encore devant mon artcile ? COUREZ L’ACHETER !!!
